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Some contributors expressed concerns that the painting did not represent General Lacoste because the assault on San Engracia monastery took place on Feb. 8th, 1809 whereas General Lacoste actually died several days beforehand, on Feb. 2nd, 1809.
The painting was presented at the 1827 Salon. The handbook gave the painter's explanation about his work. Lejeune was also a military, made a baron of the First Empire and having participated himself in the Siege of Saragossa. Quote of the Salon handbook n° 674: "The Aragonese, refugees in this city, women, soldiers led by Palafox, defend it with heroic courage; in every house they fight from room to room and even on the roofs; gunshots still start from the top of the tower of San Engracia ruined by our artillery, which has just distroyed a part of the cloister of the church to open our way. Penetrating through this breach, the author, who had been wounded an hour before the onslaught of the Convent of St. Augustine, receives a second injury and falls at the foot of General Lacoste, and Colonel Valaze which helps to stand up. The statue is that of the Virgin Maria Mercedes praying the Lord to forgive the murderers of his son" (found at http://www.asociacionlossitios.com/lacoste.htmarchive copy at the Wayback Machine). Today, there might be a problem with the date of the assault as being on Feb. 8, 1809 because, back in the time, it was clear for the painter Lejeune that the assault took place on Feb. 1st, 1809 and that Lacoste was then wounded (died the day after).
Des contributeurs ont relevé une contradiction au sujet de la représentation du général Lacoste dans le tableau, alors que l'assaut du monastère San Engracia a eu lieu le 8 février 1809, Lacoste ayant décédé le 2 février.
Cependant le peintre Lejeune avait été militaire et avait participé lui-même au siège de Saragosse. Il a présenté son tableau au salon de 1827 et décrit de la manière suivante la scène qui s'y déroule (extrait) : “Les Aragonais, réfugiés dans cette ville, les femmes, les soldats dirigés par Palafox, la défendent avec un courage héroïque ; dans chaque maison ils combattent de chambre en chambre et jusque sur les toits; des coups de fusil partent encore du haut de la tour de San Engracia ruinée par notre artillerie qui vient de renverser une partie du cloître de cette église pour nous ouvrir un passage. En pénétrant par cette brèche, l’auteur, qui avait été blessé une heure auparavant à l’assaut du couvent de Saint-Augustin, reçoit une seconde blessure et tombe au pied du général Lacoste, et du colonel Valazé qui l’aide à se relever. La statue est celle de la vierge Maria Mercedes qui prie le Seigneur de pardonner aux meurtriers de son fils ” (texte du livret du Salon de 1827 (n° 674) sur http://www.asociacionlossitios.com/lacoste.htmarchive copy at the Wayback Machine). Il est donc possible que le problème réside en fait dans la datation de l'assaut du monastère car il ne fait aucun doute qu'à l'époque, Lejeune situait l'assaut au 1er février 1809 et affirmait que Lacoste y avait été mortellement blessé.